Je nous revois nous deux
Tes mains posés sur moi
Ta voix à travers moi
Moi et mes émois

La caresse de tes mots
pour soulager mes maux
Ces maudits fantômes
Qui viennent me hanter
Jusque dans mes pensées.

Je revois ton sourire
Tes doigts qui caressent
Ma nuque se perd
En chemin jusqu'au creux
De mes reins

Je ressens ton silence
Comme une offrande
Même loin de moi
Tu es toujours là

Que m'importe l'absence
Qui n'est pas cruel
Je suis bien dans tes bras
Et ça c'est tout ce que je vois

Notre train en partance
Nos voyages dans le silence
Nos baisers avoué
Si brulants et si frais

La Tendresse de tes yeux
Qui me berce en silence
L'amour dans tes cris
Lorsque tu viens en moi

Que m'importe demain
Puisque mon chagrin
Est si loin derrière moi.

Et puis la nuit nous enveloppe
Me protège de ma peine
Demain quand l'aurore viendra
Mon premier regard sera pour toi
Mon Amour

et ça rien que d'y penser
Je me sens si gaie,effrayée aussi
devant ce bonheur.
Calme toi mon coeur,

Tu seras mon Roi
Et moi ta Princesse
Laissons nous porter
Par tous nos baisers.

Je serai à toi
Et rien d'autre ne comptera.

Est un don pour moi
Etre aimée de moi
C’est pas si mal, dis moi

Etre proche du vent
Est très stimulant
Etre proche des étoiles
Vive l’univers sidérale

En pire me voila
En toi oui c’est ça
Rends moi à la vie
La vie est ma nuit

Les étoiles de tes yeux
Soufflent la joie en moi
ton souffle bienheureux
Me dit « je te veux !»

Et le temps s’enfuis
Gredin malappris
Les mots le rattrapent
Et moi je les cuisine
En petits poèmes
A graver en toi
Pour te dire
Mais « je t’aime »
A la sauce peau aime

Caresser ton dos
Y imprimer mes lèvres
Et ton doux parfum
Qui sans cesse me dit « viens ! »
Et tes doigts qui sur moi
Pianotent « aimes moi »

Et le temps m’enlace
Et moi jamais ne me lasse
D’être à tes cotés
Toi mon doux bien aimé

Et puis c’est ainsi
que je veux penser
A tous nos baisers
Et toutes nos caresses

Moments de détresse
Bien loin de nous oublié
Oh ! J’aime trop t’aimer
Hum ! Quand donc vais-je m’arrêter ?
Et si c’était jamais?

L’histoire de ces deux personnes

qui n’osaient croire,

Que l’amour n’était pas pour eux, mais les autres,

L’amour n’est ni le tien, le mien, mais le nôtre.

Et si ce soir je te chantais une chanson?

Qui exprimait mes désirs et émotions,

Dans le refrain, ton prénom je le crierai,

Et dans ton coeur, le mien je graverai

Et si ce soir je t’écrivais un poème?

Qui parlerai d’une fille pour qui l’être suprême,

C’est ni une légende ni une fable ni un dieu,

Un homme à qui elle voue l’amour glorieux.

Mais je ne ferai rien de tout cela,

Je vais lever mes yeux et mirer le ciel,

J’y verrai ton étoile, je penserai à toi,

Et puis je dirais simplement que je t’aime...

De toi à moi, de moi à toi,

il suffit d’un regard,

d’un sourire complice

pour découvrir le monde merveilleux de l’amour.

J'entends ta voix

dans tous les bruits du monde.

Pas besoin de penser,

Tu es déjà là Amoureuse je me mets à rêver

Si j’arrête je vais suffoquer

Les démons veulent demander pardon

De t’aimer à ce point, ça c’est pas bien

Je voudrais arrêter cette horloge

Qui clignote pour me dire il est l’heure

Je suis si bien quand je suis avec toi

Affamée je ne peux m’empêcher

De caresser ton corps endormis

Mes lèvres aiment tant goûter

Ta peau qui respire l’amour

Et rêver je ne fais que ça

Oublier tout ce qui n’est pas toi

Me laisser dans le ciel sans nuage

Exploser ma fureur d’aimer

Je suis douce et violente à la fois

J’ai si peur de me perdre sans toi

Je sais bien que c’est le destin

Qui décide quand c’est la fin

Je ne pense qu’à suivre mon chemin

Qui nous mène là où c’est bon

Je n’arrête pas de penser

A cette guerre qui me fait mal

Tant de vie encore sacrifiée

Pourquoi faut il toujours posséder

Dans tes bras je veux oublier

Tous ces flashs qui me font si mal

Pourtant il est si bon de s’aimer

Dans tes bras je veux respirer

Ma douleur en toi je vais l’expier

Ma fureur je vais te la donner

Apaise moi par tes mots si troublants

Caresses moi au-delà de moi

La Paix va vite s’envoler

Je dois vite tout oublier

Ne penser qu’au bonheur d’aimer

M’imprégner de toi mon aimé